L'axe crânio-sacré, les os du crâne jusqu'au sacrum, fait partie intégrante des méthodologies diagnostiques et thérapeutiques de l’ostéopathie. 

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Avec cette technique alliée au test musculaire de précision, il devient possible de diagnostiquer et de soulager un blocage traumatique, une mémoire d'un blocage traumatique ou un problème d'articulation. En cas de blocage traumatique avéré il sera du ressort d'un ostéopathe de corriger le blocage. En cas de mémoire traumatique ou d'articulation affectée, la kinésiologie pourra corriger la situation en intégrant le blocage dans une séance ou en dédiant une séance entière à la situation.

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La thérapie de l'axe crânio-cacrée est une technique manuelle douce qui permet de détecter et de corriger des déséquilibres pouvant se traduire par des troubles de la perception, de motricité ou de la pensée.

 

Elle s’avère très efficace en cas de :

 

• maux de tête 

• raideurs, restriction de mouvements

• problèmes de dos de la nuque au sacrum 

• troubles fonctionnels de la mâchoire

• fatigue chronique,  sommeil non réparateur, coup de pompe dans la journée

• irritabilité, dépression

• problèmes visuels 

• vertiges

• difficultés d’apprentissage

• hyperactivité

• problème d'équilibre et de démarche

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Pour aller plus loin, le système crânio-sacré est un système physiologique présent chez tous les êtres vivants possédant un cerveau et une colonne vertébrale. Il comprend le crâne, la face/visage, l’ATM (l’articulation temporo-mandibulaire), la colonne vertébrale et le sacrum. L’ensemble baigne dans un fluide protégé par des membranes. Ce fluide se nomme le liquide céphalo-rachidien (LCR). Tous les os sont mobiles et bougent les uns par rapport aux autres en suivant la fluctuation du LCR. Cela génère un déplacement rythmique connu sous le nom de M.R.P. ou mouvement respiratoire primaire. Le MRP est perceptible de manière extrêmement subtile dans tout le corps.

 

Ceci explique comment tout dans le corps est lié d'une manière ou d'une autre. Une douleur subvenant dans la jambe pourrait en réalité voir son origine physiologique dans le dos.